Réalisateur d'un rape and revenge à l'atmosphère terrassante (Katalin Varga) et d'un hommage vibrant et réflexif au cinéma italien des années 70 (Berberian Sound Studio), Peter Strickland est un drôle de specimen : avec The Duke of Burgundy, il observe la danse perverse de deux femmes tour à tour dévorées et dévorantes, capture l'extase des sens à un degré quasi tripale et livre un objet de cinéma pur et hypnotisant, qui évoque autant Leopold Von Sacher-Masoch que Jess Franco.
Durée | Format | Projection | Langue | Sous-titres | Interdiction |
101 min | 2.35 | Anglais | Français |