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PIFFF 2018 - Les Séances Cultes

Posté le 26/10/18

En attendant la révélation de la programmation intégrale de la huitième édition du PIFFF, nous sommes heureux de vous annoncer la sélection des séances cultes, projetées dans le plus beau cinéma de Paris, le Max Linder Panorama.

Maniac de William Lustig (États-Unis, 1980)

Frank Zito entretient pas mal de problèmes irrésolus avec sa mère aussi abusive que décédée. Du coup, il écume les rues new-yorkaises et tue des jeunes filles, de façon atroce, tant qu'à faire. Sa collection de scalps posés sur des mannequins s'agrandit, jusqu'au jour où il rencontre Anna, une photographe. Sa relation avec elle pourrait lui amener le salut, même si honnêtement, c'est pas gagné.

En partenariat avec l'éditeur Le Chat Qui Fume, la projection de la copie restaurée 4K de Maniac tirée du négatif 16mm d'origine (jusqu’à présent toutes les copies étaient tirées de la copie d'exploitation 35mm). Préparez-vous au choc.

Next of Kin de Tony Williams (Australie, 1982)

Non contente de décéder, la mère de Linda lègue à sa fille une maison de retraite d'allure vaguement victorienne. L'héritière débarque sur place, retrouve le journal intime de sa génitrice, tombe sur ces quelques lignes : « Il y a quelque chose de maléfique dans cette maison, quelque chose qui y vit et respire le même air que nous ». De fait, les morts mystérieuses commencent à s'y multiplier.

Pour la première fois en France dans une version récemment restaurée, Next of Kin, un chef-d'œuvre du cinéma d'exploitation australien enfin présenté dans des conditions optimales.

Vorace (Ravenous) de Antonia Bird (États-Unis, 1999)

A la suite d'un morceau de bravoure accompli paradoxalement grâce à sa lâcheté, le Capitaine John Boyd est placardisé à Fort Spencer, un avant-poste isolé de la civilisation où sont envoyés les rebuts de l'armée américaine. La routine du camp est perturbée par l'arrivée d'un certain Colquhoun, un colon écossais transi de froid en quête d'un refuge. Hagard, le convalescent commence à raconter comment il a survécu à l'hiver...

Longtemps ignoré, Vorace est un classique du cinéma contemporain proposé ici dans une magnifique copie 35mm VOSTF d'époque. L'occasion de (re)découvrir sur grand écran le chef-d'œuvre de la regrettée Antonia Bird.

Halloween 3 : Le Sang du Sorcier (Halloween III : Season of the Witch) de Tommy Lee Wallace (États-Unis, 1982)

« One more day to Halloween, Halloween, Halloween, one more day to Halloween, SIL-VER-SHAM-ROCK ». La publicité passe sur toutes les chaînes, sur tout le territoire américain. Elle hypnotise les enfants et agace les adultes un minimum mélomanes. Le docteur Daniel Challis est l'un des seuls à voir dans cette ritournelle diabolique un sinistre compte à rebours visant à transformer la veille de la Toussaint en carnage rituel.

L'épisode le plus singulier, poétique et radical d'une franchise dont la récente réanimation ne saurait dupliquer la puissance du film original de John Carpenter et l'audace de ce troisième opus inoubliable.

L'Homme Qui Rétrécit (The Incredible Shrinking Man) de Jack Arnold (États-Unis, 1957)

Exposé à des radiations, Scott Carey est confronté à un phénomène pour le moins préoccupant : il rétrécit. Il flotte dans ses vêtements, puis peine à se hisser sur une chaise, atteint ensuite une taille où son chat devient une menace. La décroissance, certes, mais à quel prix ?

Un classique absolu du cinéma fantastique présenté sur grand écran à un jeune public.

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